Père Noël, trader en jouet

Bonjour et bienvenue dans ce nouveau numéro d’hommedeco.fr. C’est au Pigalle à Paris dans le XVIIIe arrondissement que va se dévoiler pour vous le numéro 24 de notre calendrier de l’avent. Alors, venez avec moi et vous découvrirez quel est ce personnage mondialement connu et adulé qui se dévoile en exclusivité pour vous aujourd’hui.

Nathalie Mallo – Bonjour Père Noël et merci de nous recevoir pour cette interview exclusive. Selon les rumeurs, vous habitez en Laponie, qu’en est-il vraiment ? Père Noël – Sincèrement, une énorme supercherie marketing. Moi, me les geler dans une vulgaire cabane. C’est juste bon pour la carte postale. Je dirige mon affaire de Miami. Il en va de ma santé.

« Je suis vraiment resté simple.« 

Après avoir réussi votre OPA hostile sur Saint-Nicolas, quelle est votre prochaine acquisition ? Halloween, évidement. Énorme potentiel, mais très mal géré. Du travail à l’ancienne par un groupe de sorcières et de citrouilles.

Face à la crise, avez-vous dû faire face à des plans de restructuration ? Malheureusement, j’ai dû faire face à des difficultés, comme tout le monde. J’ai dû me séparer de 200 lutins et 50 rennes. Et, j’ai délocalisé une partie de ma production vers les pays émergents.

À cette époque de l’année, votre effigie est partout. Touchez-vous des royalties sur la décoration de noël ? Ne m’en parlez pas. J’ai intenté plusieurs procès pour utilisation frauduleuse de mon image.

Noël passé, que faites-vous le 31 ? Très simple, je n’aime pas faire compliqué… Donc soirée mousse dans une célèbre boîte de nuit.

Un petit mot pour nos lecteurs ? Achetez… C’est tout bon pour ma hotte.